Le PNRGC communique:
En février, les précipitations ont globalement été supérieures à la normale, mais au sud du Parc, l'effet sur la recharge des nappes a été ténu et le déficit toujours perceptible.
En mars,le passage d'un épisode cévenol les 9 et 10 mars marque réellement une rupture. Les aquifères ont fortement réagi, plus particulièrement sur le Durzon.
Les pluies de fin mars semblent confirmer l'amélioration de la situation. Cependant la prudence est de mise. L'épisode cévenol comme le redoux hivernal qui a précédé témoignent de la réalité du changement climatique qui pourrait aussi bien se traduire dans les mois prochains par une nouvelle sécheresse.